2019-05-07
 
Cette section est réservée aux membres du RQD

Faites rayonner vos activités d’avril!

Paiement simplifié pour les classes du RQD

Fini les files d'attente et les échanges de petite monnaie pour vous inscrire aux classes techniques! Désormais, une simple signature de votre part permettra au RQD de prendre vos présences et de vous envoyer une facture à la fin du mois. Vous pourrez ensuite effectuer votre paiement par dépôt direct (transfert électronique de fonds).
Inscriptions fluides, gestion rapide, paiement sécuritaire… Ne reste plus que le plaisir de s'entraîner! 

Archiver en toute simplicité

Depuis quelques années, les projets de diffusion du patrimoine de la danse se sont multipliés et plusieurs initiatives ont vu le jour afin d’outiller le milieu face à la tâche complexe de l’archivage. Il faut certes se réjouir de ces avancées. Mais qu’en est-il concrètement au sein des organismes et dans les chaumières de nos artistes? Ces outils pratiques et ces exemples, notamment de legs réussis, ont-ils poussé davantage les acteurs du milieu à l’action? Le manque de ressources financières et humaines est souvent mis au banc des accusés, frein insurmontable à l’organisation minimale de la documentation produite par tout un chacun. De plus, la perception que l’organisation des archives se fera en toute simplicité à l’étape ultime de fin de vie artistique perdure avec force et ténacité.

Pourtant, les avantages d’une saine gestion de vos archives sont nombreux, et ce, à toutes les étapes de votre parcours artistique:

  • efficacité organisationnelle accrue (économie d’espace et de temps),
  • renforcement de l’identité au sein de votre organisme,
  • déploiement d’une image publique cohérente,
  • compréhension ou reprise des œuvres facilitées,
  • capacité à soutenir la recherche,
  • valorisation des œuvres, des artistes, des organismes et donc globalement, de la discipline artistique,
  • transfert éventuel vers un centre d’archives simplifié.

Par où commencer?
La tâche peut paraître colossale, mais quelques gestes simples, intégrés à vos activités courantes, vous bénéficieront au quotidien et assureront la mémoire de votre œuvre pour les générations futures.

1 – Inventorier: vous avez peut-être accumulé au fil des ans une multitude de documents qui se sont entassés dans vos espaces (physiques et virtuels) sans être en mesure d’en préciser l’ampleur et la teneur. La première étape consiste donc à dresser un inventaire de cette documentation (types de documents, formats, contenus, quantités).

2- Sélectionner: toute cette documentation n’est pas d’égale valeur donc tout ne doit pas être conservé. Il faut évidemment conserver ce qui est utile et nécessaire à la poursuite de vos activités courantes, mais aussi réfléchir à ce qui permettra ultérieurement la compréhension de votre œuvre, de votre compagnie ou de votre organisme.

3- Organiser: vous souhaitez être en mesure d’accéder efficacement et rapidement à cette documentation? Il serait bon d’adopter une logique de rangement cohérente et permanente adaptée à vos besoins et à la nature de votre travail.

4- Identifier: la tâche d’identification est cruciale et doit se faire le plus tôt possible dans le cycle de production des documents. Ainsi, vous éviterez la perte d’informations importantes (par exemple le nom des danseurs présents sur une photographie ou sur un enregistrement vidéo, la date de la captation, le titre de l’œuvre, etc.) que le passage du temps et le roulement de personnel pourraient rendre difficilement accessibles.

5- Conserver: bien rares sont ceux qui bénéficient de conditions de conservation optimales en danse. Mais en adoptant quelques mesures simples et peu coûteuses, vous éviterez la détérioration prématurée de votre documentation et en assurerez la pérennité. Voici quelques ressources qui détaillent les conditions souhaitées et contiennent une foule de conseils pratico-pratiques qui vous seront fort utiles.

Vos traces artistiques sont uniques et précieuses, elles méritent des soins minutieux et constants. La mise en place d’un système de gestion de votre documentation, le plus tôt possible dans votre parcours, n’aura que des répercussions positives sur votre cadre de travail et contribuera à la constitution d’une mémoire de la danse au Québec.

 

Marie-Josée Lecours
Après des études et une carrière en danse, elle obtient un baccalauréat en histoire de l’art et une maîtrise en bibliothéconomie et sciences de l’information. Depuis, elle œuvre en tant que bibliothécaire en chef à la Bibliothèque de la danse Vincent-Warren. Elle a développé plusieurs outils de recherche sur le site bibliodanse.ca qui contribuent à la sauvegarde et à la diffusion du patrimoine de la danse au Québec. Marie-Josée Lecours offrira au RQD la formation Archiver et conserver la danse le 30 avril.

Budget 2019 Will Deliver More Arts Events in Canadian Communities

// Version française 

March 19, 2019 – The Canadian Arts Coalition (CAC) is pleased to see the government commit to a $16 million increase of the Canadian Arts Presentation Fund (CAPF) over two years in the 2019 Federal Budget as well as an impressive amount of other increases for the sector. The CAC advocated for this targeted investment in the creative value chain at Arts Day on the Hill 2018.

Kate Cornell, Co-Chair of the Coalition and Executive Director of the Canadian Dance Assembly stated, “This strategic investment in Canadian festivals and presenters is pivotal to ensure that diverse and innovative works created by Canadian artists can reach Canadian audiences.”

The Coalition persistently advocated for a CAPF increase in the last year, and we are not alone. Member associations and allies from the Arts and Culture sector made many representations, notably to the Honourable Pablo Rodriguez, Minister of Canadian Heritage and Multiculturalism, and the Honourable Bill Morneau, Minister of Finance. The Standing Committee on Finance backed the sector by calling on the government to increase its funding for CAPF “in order to foster a strong domestic market that will serve as a launch pad for Canadian performing arts productions on international markets.” In addition, twenty-four MPs, as well as mayors and various partner arts service organizations, joined the Coalition’s call by writing letters of support.

The Canadian Arts Coalition is encouraged that the government is recognizing the importance of presenters, including the Confederation Centre for the Arts, by providing adequate support for the vitality of the cultural sector. In his speech, Minister Morneau noted that in order “to give more people here in Canada and around the world a chance to see, hear, and appreciate our talented and diverse artists, we’re making new investments that will help support our musicians, and bring festivals and performing arts series to more communities across the country.”

More applause is heard from the arts sector for the timely investment of $20 million over two years in the Canada Music Fund and $24 million over two years to the Building Communities Through Arts and Heritage Program and the Celebration and Commemoration Program. With investments totalling $60 over four programs, this will ensure Canadians can experience more dynamic performances and exhibits at festivals.

Lastly, the Canadian Arts Coalition was particularly pleased to see $1 million allocated over two years to Gender Based Analysis and the collection of disaggregated data at the Department of Canada Heritage. Several members of the Coalition referenced the need for more data about gender equality and diversity when they presented at the Standing Committee on Canadian Heritage’s Gender Parity study last year.

The Canadian Arts Coalition would like to commend Minister Morneau for his recognition of the arts over the last four years beginning with the continuation of government funding of the Canada Council, and Minister Rodriguez for addressing several issues in his mandate letter and his sensitivity to the Canadian arts ecology. Overall, we appreciate this government’s commitment to Arts and Culture and can hope for continued investment moving forward.

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About the CAC
The Canadian Arts Coalition is a collaborative non-partisan movement spearheaded by a group of national arts service and membership organizations. We are united in the belief that the future of our citizens, their towns and cities, and the nation itself depends on a rich, vibrant and diverse arts and heritage community. Since its inception, the CAC has successfully advocated for increased support for the arts through the Canada Council for the Arts.
www.canadianartscoalition.com | @artscoalitionca | artscoalitionca@gmail.com

For questions and comments, please contact: 

Kate Cornell
Co-Chair of the Canadian Arts Coalition
Executive Director of the Canadian Dance Assembly
kate@dancecanada.net
416-515-8444 or 416-805-4339

(French) 
Frédéric Julien
Co-Chair of the Canadian Arts Coalition
Director of Research and
Development at the Canadian Arts Presenting Association (CAPACOA)
frederic.julien@capacoa.ca
613-562-3515, x. 3 or 613-606-4754
 

Read Budget 2019

 

 

Regards sur la scène artistique autochtone au Québec

Longtemps tenus à l'écart des projecteurs, les arts vivants autochtones connaissent aujourd'hui un nouvel essor et les opportunités de présentation des œuvres tendent à se multiplier sur les plateaux québécois. La scène autochtone contemporaine demeure cependant encore bien méconnue du grand public. Quatre artistes et diffuseurs autochtones et allochtones étaient invités à RIDEAU pour parler de leurs réalités, de la circulation et de l'accessibilité de leurs œuvres auprès des publics.

La spécialiste des arts médiatiques et de la résurgence culturelle autochtone au Québec et au Canada, Mélissa Gélinas, animait la discussion qui réunissait les directeurs André Dudemaine (Festival Présence autochtone) et Dave Jenniss (théâtre Ondinnok), le metteur en scène et comédien Xavier Huard (Productions Menuentakuan) et l'artiste interdisciplinaire Émilie Monnet (Productions Onishka).

D'entrée de jeu, l'animatrice a énoncé une longue liste d'œuvres autochtones parues dans la dernière année sur les scènes québécoises, de Montréal à Natashquan, démontrant par A + B qu'il existe bel et bien une offre de spectacles de danse, de musique et de théâtre autochtones riche et diversifiée.

Pourtant, plusieurs obstacles à la circulation des œuvres autochtones ont été identifiés, parmi lesquels le manque patent de visibilité dans les médias officiels et le défi pour les artistes de réunir les fonds nécessaires pour effectuer des tournées sur le vaste territoire québécois. Émilie Monnet a pour sa part affirmé avoir aujourd’hui plus d’occasions de présenter ses œuvres au Canada anglophone que dans la Belle Province.

L'enjeu de la formation de la relève artistique a également été pointé comme un facteur systémique qui nuit au plein développement des arts de la scène autochtone. Xavier Huard soulignait à ce titre le manque d’opportunités pour former la relève et la nécessité d’accroître l’accès aux arts pour les jeunes autochtones. Émilie Monnet rappelait en revanche l'importance de la transmission orale des savoirs et savoir-faire dans la culture autochtone et invitait à encourager et soutenir ce type de transmission. À un membre du public qui la questionnait sur la pertinence des écoles de formation professionnelle pour les artistes autochtones, elle a pointé la complémentarité des apprentissages offerts par ces institutions (comme la projection de voix qui peut être étudiée dans les écoles de théâtre, par exemple) et les formes traditionnelles et spirituelles qui s'acquièrent dans d'autres contextes. Relevant que plusieurs institutions d'enseignement accueillent déjà quelques étudiants autochtones, les intervenants ont plutôt insisté sur la nécessité d'enseigner les «référents autochtones» – historiques, symboliques, corporels… – à tous les élèves des écoles professionnelles, qu'ils soient autochtones ou non.

Interrogés sur les enjeux de diffusion, les panélistes ont invité les programmateurs à nourrir une réelle curiosité pour les artistes et les œuvres autochtones, en évitant de programmer une œuvre en fonction d'une étiquette «autochtone». André Dudemaine soulignait la prise de conscience globale survenue dans la foulée de la Commission de vérité et réconciliation du Canada (2007-2015) et constatait que les opportunités de présentation des œuvres autochtones se multipliaient, évoquant même un «mode rattrapage» de la circulation de ces œuvres. «Accueillir des spectacles autochtones, c’est aussi participer à la réconciliation», affirmait-il encore. Dans la même veine, il a été rappelé que le Conseil des arts du Canada et le Conseil des arts et des lettres du Québec offrent désormais des programmes de soutien dédiés aux communautés inuites, métisses et des Premières Nations et gérés par des agents autochtones. Des programmes qui gagneraient à être mieux connus, tout comme les services d'accompagnement et l'offre de formation continue qui peuvent aider les artistes autochtones à mieux connaître les ficelles de la diffusion et à la prendre en considération dès les prémisses de leur projet.

Concernant le rapport aux publics, Xavier Huard faisait ressortir que l’appréciation des œuvres s'ancre dans les référents culturels des spectateurs; il estime donc nécessaire de dépasser notre éventuelle méconnaissance des codes culturels autochtones pour aborder les œuvres avec ouverture. André Dudemaine a invité les lieux de savoir et de mémoire tels que les universités à nourrir les corpus autour de l’émergence des artistes autochtones.

À l'épineuse question d'un membre de l'auditoire «Y a-t-il une discrimination positive envers les artistes autochtones? Serait-elle une étape nécessaire [pour optimiser la circulation des œuvres autochtones]?», André Dudemaine a répliqué que dans la perspective de «payer nos dettes par rapport aux crimes du passé», il serait plus juste de parler de «réparation» que de discrimination positive.

En savoir plus
Liste des évènements autochtones récurrents et autres ressources préparées par Mélissa Gélinas (source: RIDEAU)

Invités

  • André Dudemaine est cofondateur et directeur de Présence autochtone, festival multidisciplinaire dédié aux arts autochtones.
  • Dave Jenniss est un acteur, metteur en scène et dramaturge malécite. Il est aussi directeur artistique du théâtre Ondinnok.
  • Xavier Huard est un artiste de théâtre gradué de l’'ENTC depuis 2013 et co-directeur des Productions Menuentakuan depuis 2015.
  • Émilie Monnet / Productions Onishka est une artiste interdisciplinaire d'origine anishnaabe/française. Fondatrice des Productions Onishka. Artiste en résidence au Centre du Théâtre d'Aujourd'hui.

 

Faites rayonner vos activités d’avril!

Le 29 avril, le monde entier célèbrera la danse dans le cadre de la Journée internationale de la danse. Voilà une opportunité incontournable de mettre en avant la vitalité de notre art au Québec! Inscrivez vos cours gratuits, répétitions publiques, spectacles, conférences, activités de danse pour les petits et les grands dans l'Agenda de la danse du RQD; nous nous ferons un plaisir de les mettre en lumière tout au long du mois.

Inscrire une activité

 

La prévention du harcèlement devient une nouvelle norme du travail

D’importants changements seront apportés aux normes du travail au Québec à compter du 1er janvier 2019, notamment en matière de harcèlement psychologique et sexuel. Tout employeur sera désormais tenu d’adopter et de rendre disponible auprès de ses employés une politique de prévention du harcèlement psychologique et de traitement des plaintes. Une section de ce document devra nécessairement porter sur les conduites de harcèlement telles que des paroles, des actes ou des gestes à caractère sexuel. La Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité au travail (CNESST) a compilé les informations clés sur le sujet, en plus de concevoir un modèle et un guide pour accompagner les organismes dans l’élaboration de cette politique de prévention. Cette modification s’intègre à une révision plus large de la Loi sur les normes du travail visant à rehausser les protections accordées aux travailleurs, adapter la loi aux nouvelles réalités du marché du travail et favoriser la conciliation famille-travail-études.

► Consulter les outils de la CNESST

 

Chorégraphes recherché.e.s – projet pilote en transition de carrière

Vous songez à cesser vos activités professionnelles de chorégraphe? Quels que soient votre âge et vos motivations, vous pourriez bénéficier d’un accompagnement personnalisé dans vos démarches en profitant des programmes, des services et du soutien financier du bureau du Québec du Centre de ressources et transition pour danseurs (CRTD). Une possibilité offerte à cinq chorégraphes et des candidatures à soumettre d’ici le 29 janvier 2019.

Cette offre s’inscrit dans le cadre d’un projet pilote et d'une recherche financés par le ministère de la Culture et des Communications pour évaluer les besoins en transition de carrière de certains artistes en arts de la scène – chorégraphes, acteurs, musiciens et circassiens – et la nature des services à mettre en place pour mieux les accompagner. Cinq artistes de chacune de ces fonctions se verront ainsi offrir les services du CRTD en vue de redéfinir leur cheminement professionnel et d’effectuer leur transition vers une autre fonction, qu’elle soit au sein même du secteur de la danse ou de la culture ou dans un autre secteur d’activité.

De la consultation avec des conseillers d’orientation et psychologues/psychothérapeutes aux bourses d’études, les services déployés pour ce projet pilote, qui peut s’étendre jusqu’à deux, voire trois ans, seront gratuits. La recherche menée par une équipe de chercheurs permettra en outre de documenter le comportement et les besoins des artistes de la scène en matière de transition de carrière.

Pour participer au projet
Vous êtes priés de transmettre une lettre d’intention et votre CV par courriel à Parise Mongrain à parise@crtd.ca, au plus tard le 29 janvier 2019.

Un comité de sélection restreint, guidé par la direction du bureau du Québec du CRTD et tenu à la stricte confidentialité, retiendra les cinq chorégraphes qui participeront au projet.

Pour de plus amples renseignements, veuillez contacter Parise Mongrain au 514-284-1515.

Lire aussi
Communiqué Le RQD et le CRTD collaborent pour améliorer la transition de carrière des interprètes et chorégraphes québécois – 27 novembre 2018

 

Prix et récompenses 2018 en danse au Québec

Amandine Garrido Gonzalez: Prix du CALQ – Œuvre de l'année en Estrie pour ACUNA, une œuvre chorégraphique contemporaine destinée au jeune public.

Florence Junca-Adenot: prix du Gouverneur général – Prix Ramon John Hnatyshyn pour le bénévolat dans les arts du spectacle saluant son rôle déterminant dans les arts et la culture.

Dena Davida: prix de la danse de Montréal, catégorie CONTRIBUTION EXCEPTIONNELLE, présenté par les Prix de la danse de Montréal, pour souligner le travail colossal qu’elle a accompli pour le milieu de la danse pendant sa longue carrière.

Crystal Pite: GRAND PRIX de la danse de Montréal, présenté par Québecor et la Ville de Montréal, pour le rayonnement particulièrement impressionnant de son travail. 

 Andrew Skeels: Grand prix de la critique décerné en France au Théâtre Paris La Villette pour son spectacle Finding Now.

Katia-Marie Germain: prix David-Kilburn en création chorégraphique remis par l’UQÀM et le Prix de la danse de Montréal, catégorie DÉCOUVERTE, présenté par l’Agora de la danse et Tangente, qu’elle a reçu pour sa démarche singulière interdisciplinaire et à contre-courant ainsi que le minimalisme et l’extrême précision d’un travail concis, contenu et totalement habité.

Pénélope Desjardins: prix de mérite William Douglas remis par l’UQÀM, qui souligne l’excellence d’un.e candidat.e dont le dossier se démarque par une grande implication, des initiatives parascolaires pertinentes et des résultats académiques exceptionnels.

Ginette Laurin: prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle pour sa carrière exceptionnelle.

Chantal Caron: Ordre du Canada pour ses créations artistiques mettant en valeur le patrimoine naturel et sa contribution au développement de la prochaine génération de danseurs.

Cas Public: prix de la danse de Montréal, catégorie DIFFUSION INTERNATIONALE, présenté par CINARS, pour la tournée de l’œuvre chorégraphique 9, présentée 34 fois dans trois pays entre le 25 février et le 5 mai 2018.

Roger Sinha: prix Charles-Biddle volet national et international, qui souligne l’apport exceptionnel de personnes ayant immigré au Québec et dont l’engagement personnel ou professionnel contribue au développement culturel et artistique du Québec.

Anik Bissonnette: Ordre de Montréal, récompensant des femmes et des hommes d’exception partageant un même souci d’excellence, contribuant à rendre notre monde meilleur et inspirant la fierté montréalaise.

Francine Bernier: prix de la danse de Montréal, catégorie GESTIONNAIRE CULTUREL(LE), présenté par Diagramme – gestion culturelle, pour son engagement à soutenir la création chorégraphique d’ici.

Sylvain Émard Danse: prix CINARS de la collaboration internationale pour Le Grand continental.

Jeanne Renaud: Ordre des arts et des lettres du Québec remis par le Conseil des arts et des lettres du Québec pour sa contribution à former des générations de danseurs et de chorégraphes, qu’elle continue d’inspirer.

Linda Rabin: Ordre de l'excellence en éducation à titre de membre distinguée remis par le Ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur du Québec pour sa contribution d’envergure au développement du système éducatif québécois.

Tentacle Tribe (Emmanuelle Lê Phan et Elon Höglund): prix du CALQ pour la meilleure œuvre chorégraphique pour leur œuvre threesixnine présentée à Montréal en 2017-2018. 

France Geoffroy: prix Michael-J.-Fox remis par le Conseil des arts du Canada pour souligner sa carrière.

Louise Bédard: prix de la danse de Montréal, catégorie INTERPRÈTE, présenté par le Regroupement québécois de la danse et la Caisse Desjardins de la Culture, pour son solo dans Tout ce qui va revient de Catherine Gaudet.

Mélissandre Tremblay-Bourassa: prix Arts de la scène (à titre d’artiste individuelle) et prix ambassadeur Télé-Québec (pour sa compagnie Les Bordéliques) dans le cadre des Grands prix Desjardins de la culture remis à des artistes de Lanaudière.

Alice Blanchet-Gavouyère: prix de mérite William Douglas remis par l’UQÀM, qui souligne l’excellence d’un.e candidat.e dont le dossier se démarque par une grande implication, des initiatives parascolaires pertinentes et des résultats académiques exceptionnels.

Paul-André Fortier: Ordre national du Québec, la plus haute distinction décernée par le gouvernement du Québec.  

Éléonar Caron Saint-Pierre: prix Monique-Miville-Deschênes de la Culture pour avoir su avec brio prendre la relève de l’école de danse Chantal Caron.

Compagnie Virginie Brunelle: prix Le choix du public de la saison 2016-2017 du Conseil des arts de Montréal en tournée pour le spectacle Foutrement.

 Andrea Peña: prix 2018 Clifford E. Lee Choreography Award du Banff Centre for Arts and Creativity

Nous avons omis de mentionner une récompense reçue en danse au Québec? Écrivez-nous pour que nous l’ajoutions à la liste!

 

Mentions photographiques de haut en bas et de gauche à droite:
Amandine Garrido Gonzalez © Conseil de la culture de l'Estrie | Florence Junca-Adenot © Richard Gingras | Dena Davida © Maxime Côté | Crystal Pite © Maxime Côté | Andrew Skeels © Julien Benhamou | Katia-Marie Germain © Maxime Côté | Pénélope Desjardins © Samuel Graveline | Ginette Laurin © Julie Artacho | Chantal Caron © Jean-Sébastien Veilleux | Hélène Blackburn (Cas Public) © Maxime Côté | Roger Sinha © Dominick Gravel/Agence QMI | Anik Bissonnette © Ville de Montréal | Francine Bernier © Maxime Côté | Sylvain Émard Danse © Sylvain Émard Danse | Jeanne Renaud © Lilliana Reyes | Linda Rabin © Dan Oleiski | Emmanuelle Lê Phan et Elon Höglund (Tentacle Tribe) © Donald Robitaille | France Geoffroy © Maxime Côté | Louise Bédard © Maxime Côté | Mélissandre Tremblay-Bourassa © Christian Rouleau | Alice Blanchet-Gavouyère © Frédéric Chais | Paul-André Fortier © Hugo Glendinning | Éléonar Caron Saint-Pierre © Nicolas Caron | Virginie Brunelle © Anne-Marie Baribeau.

 

La Machinerie des arts dévoile plus de 100 outils de gestion

La toute nouvelle Caisse à outils de la Machinerie des arts contient plus de 100 outils stratégiques et pratiques créés en intelligence collective et destinés à améliorer la gestion des projets artistiques et des organisations culturelles.

Dans le milieu des arts et de la culture, les porteurs de projets sont souvent amenés à faire des choses pour une «première fois». Puis viennent une seconde, une troisième, une quatrième fois et ces expériences professionnelles conduisent progressivement à une spécialisation, à une méthodologie développée sur le terrain et finalement, à des outils.

En tant que jeune gestionnaire, j’ai souvent eu la chance de croiser le chemin de travailleurs culturels aguerris qui m’ont guidée dans mes «premières fois» et transmis leurs expertises. De la même manière, je rencontre souvent des artistes ou des gestionnaires confrontés à des défis similaires et c’est avec grand plaisir que j’aime transmettre à mon tour ce que j’ai acquis.

À la Machinerie, nous côtoyons tous les jours des personnes aux parcours diversifiés, engagées dans le milieu culturel et prêtes à partager leurs savoir-faire. Nous avons eu l’idée de réunir cette expérience du terrain dans une Caisse à outils afin d’accompagner nos pairs dans leurs «premières fois» et celles qui suivront.

La Caisse à outils offre des cadres professionnels pour la planification, l’organisation et la gestion simplifiée dans le domaine de la culture. Elle vise à améliorer et à faciliter la qualité du travail en offrant des guides, des canevas et des méthodes pour l’application immédiate dans des situations de travail.

Des outils pour tous vos besoins
Pour vous donner un aperçu, la Machinerie a développé des gabarits pour accompagner les organismes culturels dans leur déploiement stratégique avec notamment un arbre décisionnel définissant les fonctions d’un plan d’affaires ou d’un plan d’action par exemple. Pour soutenir le milieu culturel dans sa transformation numérique, la Machinerie a conçu des cahiers des charges et des méthodes de travail.

Une cellule d’administration regroupe des gabarits de budgets, une trousse de comptabilité quotidienne et d’aide à la préparation des états financiers, une trousse de gestion des ressources humaines, une trousse de gouvernance ainsi que des tableurs pour gérer vos cachets et vos salaires. En communication, la définition d’une identité, la planification des communications et la gestion des médias sociaux n'auront plus de secret pour vous, de même que la gestion d’évènements promotionnels et de partenariats. Pour la diffusion des œuvres, des outils ont été pensés pour la planification de la mise en marché, la négociation des contrats et la gestion d’une tournée. Enfin, les 30 outils liés à la production permettent autant aux artistes qu’à leurs équipes d’organiser toutes les étapes de la création à la première diffusion.

À l’image de la Machinerie, la Caisse à outils est un projet rassembleur qui a mobilisé six partenaires créatifs du domaine culturel, 14 créateurs-outilleurs du milieu artistique et cinq partenaires financiers. La licence d’utilisation choisie issue des Creative Commons vise la libre circulation des outils, la démocratisation des savoir-faire et le développement professionnel. La Caisse à outils est gratuite pour les membres de la Machinerie (dont la cotisation annuelle s’élève à 10$ pour les individus et 30$ pour les organismes).

À la Machinerie, nous croyons à la force d’une communauté où tous les individus membres — qu’ils soient artistes ou travailleurs culturels — s’enrichissent mutuellement afin de réaliser leur plein potentiel sur le plan artistique, professionnel et même humain.

► Consulter le catalogue de la Caisse à outils

 

Rachel Billet, directrice générale de la Machinerie

 

 

© Alex Tran

The RQD and the DTRC are working together to improve the career transition of dancers and choreographers in Québec

// French version

The Regroupement québécois de la danse (RQD) and the Québec office of the Dancer Transition Resources Centre (DTRC) are pleased to announce the start of a process to consolidate services offered to dancers and the launch of a pilot project to provide career transition support to choreographers. The DTRC will lend its expertise and resources to carry out the mandate in collaboration with the RQD who will administer the $150,000 grant from the Ministry of Culture and Communications (MCC). The funding for these projects is part of the action plan for Québec’s cultural policy.

The first part of the project aims to consolidate, increase and promote the services offered to dancers who work in the province by the DTRC’s Québec office. It will include the creation of two new positions: communications, and member and community support coordination.

The second part plans to initiate a pilot project to provide career transition support to actors, musicians, circus performers and choreographers. Five choreographers from Québec will have the opportunity to benefit from personalized career transition support thanks to programs, services and financial support offered by the DTRC’s Québec office. The RQD and the DTRC will launch a call for participation in December 2018. Meanwhile, the MCC will conduct a study to evaluate the needs of artists working in performing arts and the types of services needed to better assist them.

The RQD represents and defends the interests of over 500 dance professionals in research, creation or repertoire and plays a leading role in the advancement of every sector of the discipline: creation, production, presentation, training and services. For almost 35 years, it has actively contributed to raising awareness and improving conditions for dancers performing on the public stage.

The DTRC is a not for profit organisation founded in 1985 with nearly 700 members. In 2002, it opened its Québec office. The DTRC helps dancers make the necessary career transition into, within, and from the many transition phases related to their artistic, professional and personal path and gives them the necessary tools to achieve their full potential. It also supports activities that improve the socioeconomic conditions of artists across the country.

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This project was made possible with the
financial support of the government of Quebec

Source:
Coralie Muroni
RQD's Communications Manager
514 849-4003 #222.