2022-03-21
 
Cette section est réservée aux membres du RQD
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Sensibilisation aux réalités artistiques autochtones (introduction) – Repaire

10h00 à 15h00
65$ - (tarif réel: 500 $)

Online training, Montréal

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Inscription préalable obligatoire

Sous forme de présentation magistrale et de mises en situation, cette formation a pour but de favoriser la création de ponts entre autochtones et allochtones. Les échanges et discussions dirigés permettront de mieux cerner les différents défis et enjeux contemporains, et plus particulièrement ceux qui teintent le milieu artistique. Les participants pourront mettre en lien des éléments de l’histoire autochtone au Québec avec leur propre façon d’interagir avec les membres issus de ces communautés en plus de recevoir une rétroaction sur leurs expériences ainsi que des réponses à leurs questionnements.

La formation s’adresse particulièrement aux artistes, travailleurs culturels et autonomes de l’Île de Montréal souhaitant échanger et créer des ponts avec les artistes autochtones.

 

Objectifs d’apprentissage

Grâce à cet atelier, les participants pourront mettre en rapport l’histoire autochtone au Québec et leur façon d’interagir avec les membres issus de ces communautés, recevoir une rétroaction sur leurs expériences et obtenir des réponses à leurs questionnements. La méthodologie d’apprentissage juxtaposera des exposés magistraux à des exercices pratiques, des études de cas et des mises en situation diverses.

Au terme de la formation, les participants sauront éviter certains pièges de l’appropriation culturelle en plus d’être en mesure de réaliser un projet artistique collaboratif entre artistes et organismes autochtones.

 

Horaire exact

  • Partie I : samedi, 23 octobre 2021, de 10h00 à 12h00 et de 13h00 à 15h00
  • Partie II : dimanche, 24 octobre 2021, de 10h00 à 12h00 et de 13h00 à 15h00

Inscription

Quelques places réservées aux membres du RQD.
Formulaire  Repaire

 

Des questions?
Contactez Maude Thibault Morin
514 817-9155
formation@repaire.art

 

Formation donnée par :

Mikana est une organisation autochtone qui a été fondée à Montréal en 2015. Elle a pour mission de sensibiliser différents publics aux réalités autochtones du Canada. Cette initiative résulte d’une réflexion cherchant à agir concrètement contre le racisme et la discrimination envers les peuples autochtones.

 

Kahsennoktha est une membre de la Kanieke’há: ka (nation mohawk) qui vit et défend ses droits inhérents sur le territoire de Kanehsatake. Elle a complété ses études en soutien en santé mentale et en développement personnel et relationnel. Kahsennoktha est solidaire avec les jeunes qui valorisent la réaffirmation et la revitalisation de leurs liens avec leurs cultures, leurs langues, leurs traditions et leur territoire. Avec son expérience dans le domaine social et de la guérison, elle a développé des connaissances et des compétences qui soutiennent son engagement et sa passion pour le vrai changement.

 

Elisa Cohen-Bucher a grandi à Tiohtiáke (Montréal), sur le territoire non cédé de la nation Kanien’kehá : ka, qui est un lieu de rassemblement traditionnel pour de nombreuses Premières Nations. Diplômée de l’Université Concordia en Environnement humain avec une spécialisation en changement climatique et savoirs autochtones, elle termine actuellement une maîtrise en Géographie sociale à l’Université de Montréal. Sa recherche vise l’amélioration de la santé et du bien-être des populations Naskapi, Innu et non-autochtones du Nord du Québec avec une emphase mise sur le rôle des chiens. Depuis deux ans, elle travaille pour Mikana, où elle anime des ateliers sur les réalités autochtones.

 

Cette formation, offerte par le Regroupement de pairs des arts indépendants de recherche et d’expérimentation (Repaire) en collaboration avec le Regroupement des centres d’artistes autogérés du Québec (RCAAQ), le Regroupement du conte au Québec (RCQ), le Centre des auteurs dramatiques (CEAD), En Piste Regroupement national des arts du cirque, Illustration Québec et le Regroupement québécois de la danse (RQD), est rendue possible grâce au soutien financier du gouvernement du Québec et de Compétence Culture, le comité sectoriel de main-d’œuvre en culture.