2023-02-17
 
Cette section est réservée aux membres du RQD

Classe technique avec Jamie Wright

9h45 à 11h15
À partir de 10$

École de danse contemporaine de Montréal, Montréal

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Pour faciliter l’accès à des entraînements actuels et rigoureux, l’École de danse contemporaine de Montréal ouvre ses classes techniques aux professionnel.les de la danse, du lundi au vendredi, de 9 h 45 à 11 h 15.

 

Du 20 mars au 21 avril 2023, de 9h45 à 11h15

Exceptés les 7 et 10 avril

Avec les étudiant.es de 3e année

 

A propos de Jamie Wright

Native du Nouveau-Brunswick, Jamie étudie à l’université York à Toronto où elle obtient son baccalauréat en 1997. Arrivée à Montréal en 1999, elle s’établit rapidement comme une artiste engagée et charismatique. Elle danse alors principalement pour la compagnie Flak/José Navas de 2002 à 2008, faisant partie de la création et performance de quatre œuvres (Adela mi amor, Portable Dances, Anatomies et « S »).

En tant qu’artiste polyvalente, elle fait partie de la distribution d’Étude No. 3 pour cordes et poulies de Ginette Laurin (2007), S’envoler d’Estelle Clareton (2010-2015), Somewhere Between Maybe de Dana Gingras (2015), et la reprise de monumental, créé par Holy Body Tattoo et Godspeed You! Black Emperor (2016). Ces projets l’ammène à performer sur des scènes partout au Canada et à l’international.

Depuis 2006, Jamie collabore étroitement avec Frédérick Gravel et le Grouped’ArtGravelArtGroup (GAG). Elle a tourné avec Gravelworks (2008-2014) et Usually Beauty Fails (2012-2016) et danse actuellement dans Some Hope for the Bastards (2017), en plus d’être oeil extérieur pour This duet we’ve done before (so many times) (2015) et assistante chorégraphique sur Fear and Greed (2019) et But then, we’ll disappear (I’d prefer not to) (2021), oeuvre créée pour la compagnie Carte Blanche à Bergen, Norvège.

Jamie est actuellement dans sa dernière année de la co-présidence du conseil d’administration du Regroupement québécois de la danse (2017-21) et poursuit à temps partiel une maîtrise en éducation à l’université McGill.

 

Photo : Ben Phillipi