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[Réservé aux abonnés] Hélène David, la nouvelle ministre de la Culture et des Communications du Québec, invite le milieu culturel à se battre pour annuler les coupes de crédits d’impôt de 20 %...

Il faut s'attendre à tout avec le Festival Danse Canada, coproduit par le département en danse du Centre national des Arts. Mieux vaut abattre les vieilles cloisons qui enferment les genres, ouvrir toutes les écoutilles et guetter. La manifestation chorégraphique, en ville jusqu'à samedi, quadrille «le meilleur de la danse nouvelle au Canada» comme le clame l'affiche.

La députée de Joliette et porte-parole de l'opposition officielle en matière de culture et de communications, Véronique Hivon, dénonce les coupes aveugles de 20 % des crédits d'impôt dans le milieu des arts et de la culture. Cinéma et télévision, doublage, spectacles et édition passeront au couperet.

En assurant la présence de jeunes administrateurs sur leur C.A., le Regroupement québécois de la danse a reçu la distinction BRONZE. Cette organisation a pris conscience très tôt qu’une présence accrue de la relève assurait une meilleure compréhension des enjeux qui touchaient leurs jeunes danseurs et leur jeune public. En reconnaissance de leur travail, le Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec leur offre une formation Administrateurs de la relève.

Vous souhaiteriez pouvoir offrir des cours de français langue seconde à vos employés? Vous aimeriez obtenir une subvention de l’Office québécois de la langue française pour faire traduire votre site internet ou vos publications, et ainsi élargir votre public et mieux rejoindre une clientèle francophone? Ou encore pour remplacer vos outils informatiques par leur équivalent en français?

Date limite de candidature : le 30 juin 2014.

Avis important du CAC à l'attention des compagnies de danse soutenues dans le programme de Création/Production en danse : aide annuelle et des organismes qui pourraient être admissibles à ce programme en 2015.

Date limite d'inscription: 18 juillet 2014.

l y a exactement 20 ans, en 1994, 31 coalitions nationales, au nombre desquelles figurait le Canada, s’entendaient sur le principe d’exception culturelle. Ce principe visait à protéger la diversité culturelle contre la mondialisation et à exclure la culture de l’Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT).

Plusieurs articles de la dernière revue Jeu, sur le thème des corps atypiques, sont maintenant disponibles en ligne. Le corps « normal » est une fiction. Au carrefour des discours sociaux et des représentations imaginaires, entre le corps standardisé du monde de la mode et celui, supposément neutre, de la médecine, s’érigent des morphologies plurielles, composites. Peinant, parfois, à s’extraire du carcan des discours normatifs, ou s’en détachant avec fracas, elles nous disent que le corps commun n’existe pas.

JEU a rencontré Pascal Desparois, Katia Lévesque, Debbie Lynch-White et Émilie Poirier, quatre interprètes qu’un corps rond n’empêche absolument pas de danser. En danse contemporaine, au Québec, les corps atypiques sont rarissimes. Non seulement les danseurs qui sortent des écoles sont généralement minces, mais ils présentent souvent aussi des musculatures étrangement comparables, comme si leur formation les avait sculptés de manière à ce qu’ils correspondent à un idéal en vogue. Dans un pareil contexte, est-il possible de devenir danseur quand on est rond, enrobé, gros ou carrément obèse ? Est-ce que cela équivaut à se condamner au rejet, à la frustration, au chômage ou même au changement de carrière ?

La machine serait-elle en train de s'emballer contre l'accord du 22 mars sur l'assurance-chômage, et tout particulièrement contre les nouvelles annexes 8 (techniciens) et 10 (artistes) de l'Unedic ? On serait tenté de le croire, à lire l'avalanche de communiqués annonçant l'annulation de tel ou tel spectacle, ces dernières quarante-huit heures, ou à découvrir des initiatives inattendues, comme ce refus de siéger en commission des experts de la culture en Ile-de-France.

L'Union des écrivains québécois déconseille à ses membres de signer un contrat avec La Fabrique culturelle pour la production et la diffusion de matériel artistique tant qu’il n’y aura pas eu d’entente entre le DAMIC (Droit d’auteur, Multimédia, Internet, Copyright), regroupant des associations d’artistes et des sociétés de gestion collective, et Télé-Québec. Le DAMIC estime que le type de licence proposée par Télé-Québec aux artistes contribuant à enrichir le contenu de sa nouvelle plateforme de diffusion sur le Web ne respecte pas leurs droits.

(Trois-Rivières) La 20e édition du Festival international Danse Encore a pris son envol jeudi soir. Certes, on en était encore à la phase ascendante du vol car le festival atteindra véritablement son altitude de croisière vendredi, mais si la soirée de jeudi est un bon indicateur, le festival 2014 sera chaud.

(Trois-Rivières) Quand viendra le temps pour la directrice générale Claire Mayer et son équipe d'écrire le bilan de la 20e édition du Festival international Danse Encore, il ne sera écrit ni à l'encre noire, ni à l'encre rouge mais à l'encre rose pour témoigner de leur bonheur au terme de l'événement.