Fil de presse

Les 29 et 30 décembre, à Montréal. 50$.

Anne Sabourin a remporté une bourse décernée par Culture pour tous et le Carrefour jeunesse-emploi Montréal Centre-Ville. Le prix en médiation culturelle et entrepreneuriat artistique récompense la nouvelle Victoria pour son investissement dans la diffusion de l'œuvre à l'hôpital! Cette bourse a également été décernée à Léa Tremblay Fong pour le collectif Interlope.Durant la Semaine des Proches Aidants organisée par l'Appui du 3 au 7 novembre derniers, Dulcinée Langfelder et Anne Sabourin ont présenté des cafés-rencontres à travers l'île de Montréal. Ces derniers avaient pour thématique la découverte d'un nouveau regard sur le quotidien de proche aidant : "Une intervention dont on a besoin! Ça fait du bien de voir une artiste qui met en valeur la réalité! Bravo Anne Sabourin.", témoigne une proche aidante.

Du 15 au 19 décembre, de 9h30 à 11h, à l’Agora de la danse. 5$ par conférence / gratuit le jeudi. Réserver à l’avance.

Une idée de Fabienne Cabado! Le principe est simple, créer une chaine d’hommages que les interprètes se rendront entre eux. Aujourd'hui Manuel Roque brise la glace avec une fiction poétique sur Carol Prieur, première lauréate du Prix du RQD - Interprète. À lire, à partager et à multiplier!

Le metteur en scène Robert Lepage rappelle au gouvernement Couillard qu'il a un « contrat » avec lui pour le financement du Théâtre Le Diamant, alors que la ministre de la Culture dit être toujours en réflexion au sujet de la participation de 30 millions de dollars de Québec.

Le metteur en scène Robert Lepage sera une des prochaines cibles des compressions budgétaires décrétées par le gouvernement Couillard. Selon ce qu’a appris La Presse canadienne, Québec a décidé d’annuler la subvention de 30 millions accordée en 2012 à la future salle de spectacles Le Diamant, un projet d’envergure défendu depuis des années par Robert Lepage, au coeur du Vieux-Québec.

Les actes du colloque organisé à Lyon (France) par Enfance Art et Langage en septembre 2013 sont désormais en ligne.

L’École supérieure est profondément attristée par le départ d’une figure marquante de la danse canadienne, Monsieur Brian MacDonald. Montréalais d’origine, il a joué un rôle important dans la vie et la carrière de nombreux élèves et diplômés de l’École supérieure. Il en a notamment engagé plusieurs lorsqu’il dirigeait les Grands Ballets Canadiens. « Il partageait la vision de Madame Chiriaeff, c’est-à-dire que l’école était là pour former des artistes québécois pour la compagnie », a commenté M. Vincent Warren, qui l’a bien connu. L’École supérieure tient à exprimer ses condoléances à sa veuve, Madame Annette av Paul, ex-danseuse principale des Grands Ballets et ex-professeure à l’École supérieure. >> BIOGRAPHIE

Du 12 au 23 janvier 2015.

L’art est essentiel, entend-on souvent. Mais on s’avance rarement à expliquer pourquoi, car on se verrait alors forcé de lui attribuer une « vulgaire » utilité. Or le philosophe et essayiste suisse Alain de Botton l’affirme haut et fort : l’art peut aussi être un outil, permettant de compenser certaines fragilités psychologiques et émotionnelles, pour rendre notre existence meilleure.

Tous les acteurs, dans toutes les disciplines, sont appelés à remettre leur position en question face aux bouleversements induits par les nouveaux usages qui se sont développés ces dernières années, grâce aux technologies numériques. - See more at: http://www.renaissancenumerique.org/publications/rn/710-2014-12-02-15-06-45#sthash.ettj9RlB.dpuf

La culture a déjà largement contribué, juge l’économiste Pierre Fortin. [Article réservé aux abonnés du Devoir]

Le Devoir a sondé les jeunes professionnels de tous les milieux culturels pour récolter leurs réflexions et réactions au discours d’austérité. En voici quelques extraits qui oscillent entre un cynisme lucide envers les institutions et un coup de fouet pour agir, créer encore, autrement, et solidairement.

[France] Depuis quelques mois, un même mot d’ordre se fait entendre : les lieux d’art et de culture devraient être des lieux «populaires» et «soucieux des goûts de chacun». Vague succédané démagogique du «populaire» des années 50 défendu par un Vilar ou un Vitez, le «populaire» semble aujourd’hui n’être qu’un vulgaire cache-sexe pour des politiques culturelles populistes qui n’hésitent pas à prendre les commandes de lieux artistiques quand leur programmation ne s’ajuste pas aux cahiers des charges municipaux. Celui qui est toujours instrumentalisé par le discours d’un «populaire» s’abritant derrière l’étendard de la «démocratie», c’est le public. Le «vrai» public, entendons-nous bien. Celui qu’on dit «empêché».

(Québec) La beauté est-elle dans l'oeil de celui qui regarde? Elle est plutôt dans les imperfections de la création et dans les projets singuliers, croit le chorégraphe Frédérick Gravel. Ses acolytes et lui viennent nous présenter Usually Beauty Fails (UBF), un spectacle créé à Danse Danse il y a deux ans et déjà présenté en Finlande, en France et aux Pays-Bas.